Encore appelé marijuana, le cannabis est la drogue illicite la plus consommée au monde, en particulier chez les adolescents. Comme toutes les drogues, il possède un véritable potentiel addictif. D’après diverses études, le nombre de consommateurs ayant une addiction au cannabis ne cesse d’augmenter chaque année. Vous souhaitez sortir de la dépendance à cette substance nocive ? Ou vous avez un proche addict de cannabis et vous souhaitez l’aider ? Voici un article qui vous dit comment y arriver.
Solliciter l’aide d’un professionnel
Reconnaître qu’on a une dépendance au cannabis et avoir la volonté d’en sortir est fort louable. C’est d’ailleurs le premier pas pour vaincre n’importe quelle addiction. Toutefois, les personnes dépendantes qui ont déjà essayé vous le diront tous : la volonté seule ne suffit pas parfois. En effet, les tentatives d’arrêt du cannabis sans soutien ni substitut finissent très souvent par des échecs.
Pour finir sereinement et durablement avec l’addiction au cannabis, il est plus judicieux de faire appel à un professionnel. Si vous habitez le département de l’Essonne, Contactez votre psychologue addictologue à Brunoy pour bénéficier d’un bon accompagnement. Après avoir pris connaissance de votre situation, ce professionnel de l’addictologie vous aidera à aller sereinement à un sevrage durable. Si le patient est un adolescent, le psychologue sollicitera l’implication des parents pour créer un environnement rassurant et motivant.
Rejoindre une association spécialisée dans les dépendances
En dehors des psychologues addictologues, il existe aussi des associations et structures spécialisées dans les addictions. En France, de nombreuses structures proposent d’aider les personnes ayant une dépendance. Elles proposent une multitude de services pour aider les patients. De même, il existe des lieux d’accueil, de conseils et d’écoute pour les jeunes et les adolescents addicts au cannabis.
Il est important de savoir que le sevrage s’accompagne souvent de moments difficiles qui incitent le patient à en consommer à nouveau. Ainsi, sans un bon suivi psychologique et parfois même médicamenteux, le risque de rechute est plus grand. Ne vous surestimez donc pas et faites-vous aider.
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