La cigarette électronique est considérée par beaucoup comme la solution idéale pour arrêter de fumer. Mais selon des chercheurs américains, l’e-cigarette serait entre 5 et 15 fois plus cancérigène que le tabac !
Beaucoup de fumeurs passent à la cigarette électronique pour vaincre leur addiction au tabac. Mais l’e-cigarette ne serait pas aussi inoffensive que l’on pourrait croire…
La cigarette électronique, très en vogue
L’e-cigarette est devenue un accessoire très populaire en France notamment. Nombreuses sont les personnes qui en sont réellement accro. La cigarette electronique serait le meilleur moyen d’arrêter la consommation de tabac et « vapoter » serait plus efficace, plus pratique et plus « tendance » que mâcher des gommes à la nicotine ou utiliser un patch. Il serait même plus économique d’adopter cet accessoire que d’acheter des cigarettes en paquets, surtout pour les petits fumeurs : un flacon de 10 ml d’e-liquide représente l’équivalent de 100 à 120 cigarettes. La plupart des utilisateurs de la cigarette électronique sont convaincus qu’elle est inoffensive, améliore leur santé et prolonge leur espérance de vie. La cigarette électronique éclaircirait la voix, rendrait la peau plus claire et aiderait même à avoir plus de souffle… Vraiment?
Dangereuse, la cigarette électronique ?
En réalité, la cigarette électronique pourrait être plus nocive pour la santé que le tabac, c’est en tout cas ce qu’expliquent des chercheurs américains de Université d’Etat de Portland dans une lettre parue dans The New England Journal of Medicine. Elle serait entre 5 et 15 fois plus cancérigène que le tabac car elle dégage une quantité importante de formaldéhyde, un composé toxique inodore et incolore. Ainsi, un consommateur d’e-cigarettes qui inhale chaque jour l’équivalent de 3 milligrammes de liquide vaporisé chauffé absorberait deux fois plus de formaldéhyde qu’une personne qui fume un paquet de cigarettes papier ! Mieux vaut donc arrêter complètement de fumer ! A bon entendeur….
Les personnes qui cherchent à maigrir ne devraient pas se priver de chocolat, à condition de bien le choisir. Mais gare aux excès et aux envies irrépressibles !
Le chocolat noir à petites doses est le choix idéal pour qui veut se faire plaisir tout en conservant la ligne…
Un petit carré de chocolat fournit environ 50 calories et parfois plus. Le chocolat est un aliment gras et hypercalorique par nature dont il ne faut pas abuser. Mais à petites doses, il peut être bénéfique, même aux personnes en surpoids.
Nous l’avons vu, le cacao possède des propriétés antioxydantes, diurétiques, antidépressives et stimulantes exceptionnelles. Malheureusement, celles-ci disparaissent au cours des processus de transformation industrielle. Pour en profiter autant que possible, choisissez de préférence un chocolat noir simple ou amer de qualité. En revanche, les barres chocolatées, desserts, pâtes à tartiner et autres céréales de petit déjeuner au chocolat sont généralement bourrés de sucres rapides, de graisses et de « calories vides ». Ces produits n’ont absolument aucun intérêt diététique !
Comment déguster le chocolat sans en manger trop ?
Pour beaucoup de personnes, il est difficile de résister au chocolat : elles croquent un morceau, deux, puis trois… Finalement, toute la tablette y passe ! Cela vous est peut-être déjà arrivé? Si vous ne pouvez pas vous empêcher de manger une plaquette entière, si le chocolat est devenu une véritable « drogue » dont vous ne pouvez vous passer, si vous en manger jusqu’à en être malade, vous souffrez peut-être de difficultés de contrôle pulsionnel et d’une tendance à la dépendance. Si c’est le cas, des solutions existent. N’hésitez pas à consulter un psychothérapeute. Mais avant d’en arriver aux grands moyens, essayez de contrôler votre compulsion de la manière suivante :
Un bon chocolat, c’est comme un bon vin. Installez-vous confortablement pour déguster cet aliment dont vous raffolez, dans une ambiance calme et détendue, sans stress. Respirez à fond. Ne vous laissez pas distraire par la télévision ou par votre entourage. Mettez un carré de chocolat sur la langue et laissez-le fondre tranquillement. Fermez les yeux et concentrez-vous sur ses arômes et les sensations qu’il vous procure. Laissez aussi remonter doucement les souvenirs agréables qui s’y rattachent éventuellement. Différez autant que possible le moment de le croquer !
En privilégiant la qualité de la dégustation, un carré de chocolat vous donnera une satisfaction plus intense qui devrait vous aider à contrôler l’envie d’en reprendre et de terminer la plaquette…
Un dernier conseil : n’oubliez pas les effets dynamisants du chocolat ! Une consommation excessive ou en soirée peut affecter la qualité du sommeil et provoquer des insomnies (au même titre que le café ou le thé).
Note : Attention, ne donnez pas du chocolat à vos animaux de compagnie, même s’ils en demandent avec insistance ! Le chocolat est mortellement toxique pour le chien, le chat et le cheval et il n’existe pas d’antidote.
La réponse est oui. Consulter un thérapeute comportementaliste peut être utile surtout si la tendance au grignotage compulsif, les fringales et les excès alimentaires sont le résultat de stimulations et de sollicitations extérieures.
Une thérapie comportementale peut aider à mieux gérer le stress et le surmenage, qui sont souvent associés à une prise de poids…
Son objectif sera de vous aider à contrôler les situations de la vie de tous les jours dites « à risque », c’est-à-dire de vous permettre d’esquiver les tentations et les influences de votre entourage et de limiter les passages à l’acte problématiques. D’innombrables facteurs extérieurs peuvent avoir un impact négatif sur le comportement alimentaire: stress, surmenage, contraintes de la vie de famille, influence de la publicité et de la mode, ennui ou opportunités trop nombreuses de faire la fête…
Généralement, les séances réunissent dans un premier temps quatre à huit personnes (approche de groupe) : cela vous permettra de relativiser vos difficultés avec la nourriture et renforcera votre volonté et votre détermination de changer le cours des choses. Les séances sont le plus souvent hebdomadaires et elles durent entre une et deux heures.
La thérapie peut ensuite être poursuivie en « colloque singulier » avec votre médecin, un psychologue ou un diététicien, par exemple. Habituellement cela s’accompagne d’un régime amaigrissant moyennement restrictif. D’après les experts, une thérapie comportementale favoriserait aussi la stabilisation du poids après l’amaigrissement.
Voici quelques exemples de nouvelles habitudes que le thérapeute tentera de vous faire adopter :
- Avoir de meilleurs réflexes comme manger à heures précises et remplacer les collations par de l’exercice physique.
- Faire de meilleurs choix au moment des courses, comme acheter uniquement les aliments sur une liste établie au préalable, éviter les plats préparés ou prendre juste assez d’argent pour ce qui est prévu.
- Apprendre à manger avec mesure : poser ses couverts entre chaque bouchée, mâcher lentement chaque bouchée avant d’avaler, ne rien faire d’autre en mangeant (ni regarder la télévision, ni lire) et ne pas se resservir.
- Adapter l’art de la table : par exemple, employer des assiettes et autres récipients plus petits, éviter de servir à table, ne pas conserver les restes et quitter la table immédiatement après le repas
- En vacances, au restaurant ou chez des amis : trouver des formules polies pour refuser de la nourriture, absorber moins de boissons alcoolisées ou prendre une collation avant de se rendre à un repas pour éviter les fringales et l’excès.
- Renforcer sa détermination en sollicitant le soutien de ses amis et de sa famille et en prévoyant de se récompenser pour des comportements et la réalisation d’objectifs spécifiques (en choisissant des récompenses « raisonnables » bien sûr… !)